Pourquoi les cuisses des mecs nous font craquer…

Qu’elles soient poilues, dodues, musclĂ©es ou fines, les cuisses fascinent. Elles sont le dernier cadeau accessible avant l’interdit. Comme le nombril, elles sont tentatrices. ÉcartĂ©es ou croisĂ©es, elles invitent au voyage. Et vous, quelles cuisses vous aimez ?

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On garde tous un souvenir ému de ce bellâtre qui sort de la mer à la plage avec son speedo moulant et ses cuisses tendues qui fendent l’eau. Une belle paire de cuisses peut effacer d’un coup de baguette magique tous les doutes quant à l’attirance qu’on pourrait avoir pour un garçon. Parce que les cuisses sont rassurantes, elles peuvent englober, serrer, caresser même ! Parce qu’elles sont uniques, qu’on peut les regarder sous tous les angles… Et même quand on veut critiquer la morphologie d’un garçon, on en vient souvent à parler des cuisses. Elles sont « de grenouilles », dit-on d’un mec freluquet ! Et vous, vous les aimez comment, les cuisses ?

Musclées et souvent rasées

C’est la spécialité des musclors. Ils musclent leur cuisses comme le reste de leur corps. Lorsqu’on est coincé à l’intérieur, pas moyen de s’en dépatouiller… Tous les muscles de la jambe sont parfaitement dessinés, même ceux dont on n’a pas la moindre idée de comment ils s’appellent… C’est vrai, saviez-vous que le quadriceps « crural » est le muscle le plus volumineux du corps humain ? On aime ces cuisses parce qu’elles offrent une assise confortable et parce qu’elles ont de la poigne ! On les aime un peu moins parce que trop musclées, elles peuvent ressembler à des jambons, pas forcément excitant.

Dodues et poilues

Quel que soit le reste du corps, ces cuisses sont à la fois des oreillers sur lesquels on peut poser sa tête amoureusement et des poignées imposantes qu’on a envie de garder pour soi, rien que pour soi. Elles sont confortables et excitantes. Pour les fans de garçons poilus, les cuisses rasées sont rédhibitoires. Celles des Bears sont les exemples parfaits de ce genre de cuisses. On les aime parce qu’elles ne sont pas prétentieuses malgré leur masse, qu’elles sont des invitations à la palpation, à la caresse. On peut néanmoins leur reprocher de devenir des radiateurs un peu trop chauffants quand les beaux jours arrivent…

Fines et glabres

La cuisse fine ne veut pas forcément dire « cuisse de grenouilles ». Elle peut être athlétique et tonique. On la reconnaît pendant le Tour de France ou pendant les compétitions d’athlétisme chez certains concurrents. Elle est pratiquement toujours rasée. Les danseurs classiques ont souvent ce genre de cuisses. Elles sont souvent très souples et capables de prouesses assez hallucinantes… On peut se sentir désemparé devant la puissance que ces cuisses peuvent développer. Ce qu’on leur reproche en général ? Le manque de poils évidemment…

Avec une marque de bronzage « Boxer »

On ne va pas se mentir, c’est la cuisse inaccessible mais tellement excitante à regarder. Celle qu’on aperçoit dans les Calanques de Marseille ou sur certaines plages très familiales. Pas forcément très gay. C’est vrai, un gay n’oserait pas exhiber ses cuisses avec une marque de bronzage. C’est la cuisse qu’on regarde mais qu’on ne touche pas. Elles ont la fraîcheur de leurs propriétaires qui se moquent des diktats de l’esthétique. Quand on a la chance de pouvoir y toucher, c’est du duvet qu’on caresse, de celui qu’on avait à 25 ans… On aime l’innocence de ces cuisses, on leur reproche souvent leur inaccessibilité !

Épaisses et tatouées

C’est la cuisse rock’n’roll ! Elle n’est pas forcément musclée. Elle peut être poilue. Elle a souvent vécu et raconte une histoire. Le risque ? Le chat mignon qu’on s’est fait tatouer sur sa cuisse pas très musclée à 20 ans peut devenir une grosse méduse après un entrainement assidu à la salle de musculation. Mais en général, on aime ces cuisses parce que le « monsieur » qui les porte est suffisamment fort pour avoir supporté le tatouage qu’il peut faire ce qu’il veut de votre corps. Et on doit bien l’avouer, on adore ça… Ce qu’on pourrait leur reprocher, c’est d’être un peu trop le centre d’intérêt. Eh les cuisses, ça va les chevilles ?

Tu en veux encore ?