5 choses Ă  savoir sur le milieu fetish

Des week-ends, des associations Ă  foison, des pratiques plus visibles, le milieu fĂ©tichiste gay gagne du terrain partout en France. Son nombre d’adeptes progresse Ă  toute vitesse. Serge Fox, artiste de talent et co-fondateur de l’association Freedmen, nous explique comment dĂ©couvrir cet univers peuplĂ© de jolis garçons aux looks ravageurs.

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2 – Je ne mélange pas tout

Mais que vient faire dans tout ça le BDSM (bondage, discipline, domination, soumission, sado-masochisme ) ? On a eu parfois l’impression qu’il s’était un peu noyé dans le mot fetish, mais être fétichiste du lycra ou des pieds n’implique pas forcément de pratiques hard.

Serge Fox clôt le débat : « Le BDSM passe souvent par la fétichisation d’un accessoire, de pratiques cérébrales ou plus impactantes. Et surtout, il repose, c’est essentiel, sur la confiance, le consentement explicite entre 2 personnes, un domi et un soumis, que les pratiques soient soft ou hard. »

Poser le pied dans une soirée fetish, c’est donc avoir la certitude de ne rien subir contre sa volonté. C’est la première chose à savoir, tant ces pratiques, qui n’ont rien de honteuses et ne doivent pas être jugées, sont souvent caricaturées.

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