La saison 3 de « The Boys » frappe fort avec son pénis géant !

À chaque saison de « The Boys » diffusé sur Prime Video, on s’attend à une nouvelle irrévérence. La série mordante qui se veut une parodie des films de super-héros n’a peur de rien : pour cette saison, elle débute avec un décor de sexe masculin de… 11 mètres !

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Après la scène désopilante de Pam and Tommy (sur Disney+), où le héros parle à son sexe turgescent, les séries américaines semblent avoir franchi un cap avec le « pénisgate » de la saison 3 de The Boys. La presse américaine fait ses choux gras sur la scène où un super-héros rentre dans l’urètre de son amant pour lui faire plaisir. En effet, il y a beaucoup d’informations dans une seule phrase mais The Boys est la série où un tel scénario est possible. A la fois trash, gore et drôle, cette série parodie les films de super-héros à la Marvel ou à la DC… Les super-héros sont méchants, cupides, obsédés sexuels (on se souvient des fesses avec la marque du bronzage de Deep, l’Homme-Poisson joué par Chace Crawford, dans la première saison). On est bien loin des Spiderman ou autres Captain America tout gentils, voire un peu gnangnan… Bienvenue dans le monde des coups tordus et des viscères éclatées !

Un sexe de 11 mètres !

La scène dont tout le monde parle est stupéfiante. On y voit Termite qui est, en gros, un Ant-Man vulgaire, toxico et gay. Il a la capacité extraordinaire de se réduire à l’infini, un peu comme le modèle de Marvel. Il retrouve son amant qui lui dit : « J’ai envie de te sentir en moi ! ». La plupart des gays connaissent cette phrase. Mais avec Termite, c’est un peu plus pointu : il se diminue au point de pouvoir entrer dans l’urètre de son amoureux !

Les scénaristes avaient pensé à un autre orifice mais dans la première saison, il avait déjà été exploité… On ne spoilera pas la suite de la scène mais les déambulations de Termite, nu, dans l’appendice de son chéri sont hallucinantes. L’acteur, le très sexy Brett Geddes, a même posté sur Instagram une photo de lui et de sa doublure, à l’entrée du gland. Le sexe masculin ne fait décidément plus peur aux majors américaines.

Le super-héros doit être drôle !

The Boys se situe dans la plus grande tradition des films parodiques des années 70 comme le cultissime La Honte de la jungle de 1975, où Tarzoon était pathétique. Le public veut rire de tout, même de ses super-héros. Les franchises Marvel et DC l’ont bien compris : il y a d’ailleurs un avant et un après Deadpool. Le succès planétaire de ce film le confirme. La scène où Ryan Reynolds se fait prendre par sa fiancée à l’occasion de la Journée Internationale des droits des femmes, est culte aujourd’hui et montre bien qu’on a bel et bien tourné la page du super-héros trop lisse et trop parfait qui ressemble en fait, un peu trop au héros américain, à l’instar de Captain America.

The Boys joue l’auto-dérision a fond. Les super-héros sont bêtes, envieux et capables du pire. Et au milieu de toute cette troupe-catastrophe, il y a Starlight, qui sauve la mise en étant la plus humaine de tous. Comme par hasard, c’est une femme… C’est ce que les créateurs ont voulu dire dès le premier épisode : on ne s’en sortira pas sans elles. Derrière son côté un peu trash, il y a un message politique dans The Boys. Pour le voir, encore faut-il supporter le sang et les corps qui explosent…

Tu en veux encore ?