TĂ©moignages : “Ce prof me faisait craquer !”

On a tous regardĂ©, avec des yeux de midinettes, notre prof qui, en plus de nous enseigner les beautĂ©s de la vie (mĂȘme en allemand !), Ă©tait super sexy. Le fantasme du prof est encore tenace. Ce qui est vraiment excitant, c’est qu’il restera, Ă  jamais, un fantasme !

Publié le

On se souvient de la scène du film Indiana Jones où le professeur Harrison Ford donne un cours devant une armée de jeunes filles toutes amoureuses de lui… Ça rappelle forcément des souvenirs à quelques-uns d’entre nous : ce prof de sport viril qui réussissait à nous faire aimer sa matière pourtant détestable ou le jeune prof de maths qui rendait le théorème de Pythagore limpide comme de l’eau de roche.

Gus (38 ans, de Charleroi) se souvient de son prof de philosophie : « J’adorais sa tête d’intello et ses petites lunettes. Il pouvait parler pendant des heures d’un truc dont je ne comprenais rien, ce n’était pas grave… C’était mon cours préféré. Et bien des années plus tard, j’ai compris pourquoi je craquais autant sur les mecs avec ce look de geek. Pas forcément sexy au premier abord, mais quand tu t’y attardes, tu tombes amoureux ! » Comme Gus, nos témoins ont craqué pour leurs profs…

« Il était trop beau ! »

Stefan (54 ans de Mende) a un souvenir encore ému de son prof de sport de lycée : « Avec mes copines de classe, on l’appelait Monsieur Petit-Cul. Il était en short toute l’année, qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il fasse beau… Il était trop beau. On voyait ses cuisses poilues à longueur d’année et ça me rendait dingue. J’ai appris à aimer le sport avec lui. Et étrangement, à le détester sans lui. Je crois qu’il savait qu’il était très sexy et qu’il en jouait un peu… Personne ne le détestait. Surtout pas moi, ni ma copine Françoise… »

Laurent (46 ans, de Quimper), lui, se rappelle son prof de statistiques à l’université : « Un jour à la rentrée, on attendait dans l’amphi et un mec sublime, brun, les cheveux mi longs frisés, en pantalon en cuir avec le casque de moto sous le bras s’installe derrière le bureau et commence son cours. Notre prof de stat’ était un dieu grec ! Je suis tombé amoureux de lui ce jour-là ! »

« Il était trop intelligent ! »

Gus nous l’a dit, ce n’était pas la plastique de son prof de philo qui l’a attiré a priori : « Il était trop intelligent. J’étais subjugué… » Pour Charles-Antoine (23 ans, de Paris), c’est exactement la même chose : « Mon prof d’histoire-géo au lycée était un vrai conteur. Il avait un talent pour nous faire comprendre des concepts super compliqués avec des histoires et des anecdotes qui rendaient tout limpide. J’adorais l’écouter… Les yeux dans les yeux. Enfin, les miens surtout ! Et ça a marché : j’ai eu 17/20 au Bac en histoire avec comme sujet, L’éveil de la démocratie au XVIIIe siècle. Fallait le faire… » Pour Gus, comme pour Charles-Antoine, ils ont été charmés par des profs qui excellaient dans la transmission du savoir. Et qui les ont aidés, surtout à devenir de bons élèves !

« Il m’a grillé mais il n’a rien dit… »

De là à draguer ouvertement le prof, il n’y a qu’un pas. Qu’a franchi Rodrigue (32 ans, de Toulouse) : « Je n’étais pas très futé en terminale. Je regardais mon prof d’italien bouche-bée, les yeux en cœur pendant tout le cours. Il s’est très vite rendu compte que je le draguais. Du coup, il s’est mis à être particulièrement sensible à toutes les questions que ma voisine, et aussi ma meilleure amie, lui posait. J’étais jaloux à un point. J’ai fini par le détester… »

Lyes (31 ans, de Paris), lui est très vite tombé amoureux de son prof d’archéologie à la fac : « Déjà, à la fac, j’adorais les Bears. Et ce prof était plutôt rond et je voyais ses poils à l’ouverture du col de sa chemise. J’étais dingue de lui. Je n’arrêtais pas de parler de lui avec mes deux meilleurs amies de l’époque. Un jour, je leur détaillais ce que j’aimerais qu’il me fasse. Je n’avais pas vu qu’il était juste derrière moi. La honte ! Il m’a grillé mais il n’a rien dit. J’ai essayé d’être plus discret mais il était trop tard. Le plus drôle dans cette histoire, c’est que je l’ai revu dans un bar gay du Marais, il y a deux ans. Il m’a reconnu et m’a présenté… son mari ! »

Tu en veux encore ?