Les porte-drapeaux des JO nous ont donné chaud !

On le connaît déjà depuis ses apparitions aux JO de 2016 et 2018, mais Pita Taufatofua, le beau et sexy athlète des îles Tonga, était de retour lors de la cérémonie d’ouverture des Jo de Tokyo, vendredi 23 juillet. C’est à côté de l’athlète Malia Paseka que le sportif de 37 ans portait le drapeau rouge et blanc des Îles Tonga (État de Polynésie comportant plus de 170 îles du Pacifique Sud) torse nu le corps huilé et vêtu d’habits et de bijoux traditionnels. Avec un corps sculpté la serpe, l’apparition de Pita Taufatofua a une fois de plus fait le tour de la toile. 

Lors de sa première apparition comme porte-drapeau aux JO de Rio en 2016, Pita Taufatofua avait marqué les esprits plus par son physique que par ses performances sportives en taekwondo. À l’époque, il avait même rejoint le classement des personnalités sportives les plus sexy de 2016 par le magazine Sports Illustrated.

En 2018, Pita Taufatofua a représenté les Îles Tonga au JO d’hiver de PyeongChang en se qualifiant dans la discipline du ski de fond. Une fois de plus, le sportif avait défilé torse nu avec le drapeau Tonga lors de la cérémonie d’ouverture. 

Toujours le corps parfaitement huilé, Pita Taufatofua avait expliqué sur Facebook il y a quelque temps : « L’huile de noix de coco fait partie intégrante de l’embellissement des corps en Océanie. Les danseurs traditionnels en appliquent copieusement sur leurs corps comme une célébration de la symétrie du corps humain et aussi une marque de leur identité ancestrale. »

Mais cette année, Pita Taufatofua n’était pas le seul à miser sur l’huile et le torse nu, avec un challenger de taille, Riilio Rii, 27 ans, porte-drapeau du Vanuatu (pays du sud de l’océan Pacifique composé d’environ 80 îles), lui aussi torse nu et le corps huilé. Il est qualifié aux JO de Tokyo pour la discipline de l’aviron. 

Regardez :