7 secrets pour (enfin) tenir ses bonnes résolutions

Certes, les jockstraps Ă  paillettes sont restĂ©s confinĂ©s cette annĂ©e. Mais avec l’arrivĂ©e d’une nouvelle annĂ©e, l’envie de bonnes rĂ©solutions demeure malgrĂ© tout prĂ©sente. Comment ne pas lĂącher et tenir sur la durĂ©e ? Voici nos sept secrets capitaux pour enfin tenir ses bonnes rĂ©solutions.

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Point trop n’en faut.

Les bonnes résolutions ont un point en commun avec les plans à plusieurs : le trop est l’ennemi du bien. Si dans un même temps vous envisagez de perdre du poids, d’arrêter de fumer et de vous remettre au sport : cela sera quasiment voué à l’échec, car trop d’efforts seront à fournir simultanément sur différents tableaux. Ainsi, égrainez davantage vos objectifs dans le temps pour ne pas vous décourager et procédez par étapes.

Un objectif plutôt que des résolutions. 

Une résolution concerne en général une mauvaise habitude (exemple : arrêter de grignoter), alors qu’un objectif est plus positif (exemple : se remettre en forme). Se fixer un objectif plutôt qu’une résolution vous permettra d’avoir une vision plus large, surtout si vous voulez changer plusieurs mauvaises habitudes d’un coup. Aussi, pour garder le cap plus facilement, le secret est de se fixer des objectifs SMART. Non, cela ne désigne pas la voiture-pot-de-yaourt, mais un acronyme définissant un critère spécifique, mesurable, ambitieux, réaliste et temporellement défini.

S pour spécifique.

Plus votre objectif sera spécifique et moins vous vous égarerez. Le contre-exemple parfait serait « avoir une meilleure santé en 2021 », car cela veut tout et rien dire. En revanche, se fixer comme objectif de « passer de deux paquets de cigarettes par jour à un » ou encore « faire vingt minutes de sport par jour » est précis. L’approximation n’est pas atteignable, mais la précision oui.

M pour mesurable.

Comme quoi, des fois, la taille compte ! Le caractère mesurable permet de se situer par rapport à ce qui a déjà été accompli et ce qu’il reste à faire, en ayant une idée de l’évolution de votre projet. Ici, le contre-exemple parfait serait « je veux maigrir », car il n’y a rien de plus vague. Perdre combien ? Comment ? C’est trop flou… Il faut mesurer ses ambitions dans le temps pour mieux les atteindre. Par exemple, si j’ai 6 kg à perdre, il vaut mieux se fixer un objectif progressif, comme 1 à 2 kg par mois, pour quantifier sa progression.

A pour Ambitieux.

Les objectifs doivent être ambitieux pour garder sa motivation intacte, tout en suscitant l’envie de donner le meilleur de soi-même. Mais sans pour autant basculer dans la démesure au risque de ne pas pouvoir atteindre le bout du tunnel ! Par exemple, si vous comptez vous remettre au sport, ne commencez pas d’emblée par 2 h par jour, vous finirez vite par craquer. Mais allez-y petit à petit, par tranche de 10 ou 15 min. Besoin de motivation ? Pensez à ce que vous disait votre amant italien : « chi va piano, va sano » 

R pour Réaliste.

La faisabilité de l’objectif doit sauter aux yeux pour ne jamais en douter en cours de route. Si l’on reprend l’exemple de la perte de poids, l’objectif doit rester impérativement réaliste sinon on se démotive en un rien de temps. Idem pour l’alcool ou le tabac. Procédez par étapes avec des objectifs que vous pourrez atteindre. Ne mettez pas la charrue avant les bœufs.

T pour temporel.

Quel que soit l’objectif, il doit être fixé dans le temps. En s’imposant un certain délai à respecter, alors on crée une dynamique. Par exemple, accordez-vous un délai d’un mois par objectif. À ce sujet, une étude a montré qu’il faut au minimum 21 jours par objectif pour l’atteindre pleinement. Et comme vous avez plus de 360 jours devant vous pour programmer vos objectifs, alors ne vous mettez pas la pression !

Tu en veux encore ?