La Covid-19 aurait favorisé les rapprochements charnels entre colocataires

Selon un récent sondage américain, les mesures sanitaires liées au Covid-19 ont favorisé les rapprochements charnels entre colocataires


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De nombreux célibataires ont vu leur vie sentimentale ébranlée avec l’arrivée du Covid-19. Néanmoins, ceux qui sont en coloc’ semblent avoir un léger avantage. En effet, Beaucoup ont pris le parti de profiter de ce qu’ils avaient sous la main et de prendre du bon temps entre compagnons d’appartement.

C’est ce que révèle une enquête américaine sur le célibat réalisée par Match. Selon l’étude, un célibataire sur quatre aurait eu des relations sexuelles avec son colocataire pendant le confinement. Les jeunes (plus propices à vivre en à plusieurs) explosent les chiffres avec un célibataire sur trois à avoir vécu l’expérience.

Si vous êtes dans ce cas, ce n’est pas bien grave… Il fallait bien s’occuper pendant le confinement ! L’étude ne dit pas, par contre, s’il y a eu quelques hétéros convertis dans le lot đŸ™‚

De nouvelles habitudes amoureuses

L’enquête montre néanmoins que la pandémie a changé nos habitudes amoureuses et sexuelles. 16 % des répondants indiquent qu’ils privilégient beaucoup plus les plaisirs solo qu’avant. 16% des célibataires ont limité leurs interactions amoureuses à une seule personne depuis le confinement. 5% des célibataires en ont eu deux, 3% trois partenaires. Seulement 5% des célibataires ont gardé leurs habitudes sexuelles avec une moyenne de quatre à cinq partenaires.

Sur le plan moins sexuel et plus affectif, 63% des célibataires ont affirmé qu’ils passaient plus de temps pour faire connaissance avec leurs potentiels futures partenaires et 57% d’entre eux cherchent des rencontres sérieuses.

« Les récents événements cataclysmiques ont conduit les célibataires à attendre beaucoup plus des rencontres : un désir de relation plutôt que des rencontres occasionnelles, des conversations plus profondes, plus d’honnêteté et de transparence lors du RDV. […] Les célibataires d’aujourd’hui veulent savoir qui vous êtes, où vous vous situez financièrement et ce que vous attendez d’une éventuelle relation. » a déclaré le Dr Helen Fisher, anthropologue biologique et conseillère scientifique de Match.

D’après Queerty.

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