Oreilles décollées, cheveu sur la langue, coquetterie dans l’oeil : ces petits trucs qui nous font craquer !

Oreilles décollées, coquetterie dans l’œil, cheveux sur la langue… Pour certains, ce n’est tout simplement pas possible. Pour d’autres, c’est le petit truc qui va les faire craquer. Pour nos témoins, ce sont ces particularités qui font que leur mec est « le meilleur » …

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On ne va pas se mentir, si on peut avoir un mec qui ne ressemble à personne, qui est unique, que l’on va remarquer assez vite, on est fier. Laurent (46 ans, de Quimper) se rappelle ce qui l’a fait craquer chez son chéri : « Je suis fan de rugby et j’allais de temps en temps assister à un match amateur près de chez moi. Un jour, j’ai remarqué un garçon. Non pas pour sa gueule d’ange ou ses pecs développés, mais pour ses jambes arquées. Je ne voyais qu’elles. Et plus le match avançait, plus je trouvais le joueur en question super sexy. Je me suis débrouillé pour aller boire un verre avec les joueurs après le match. Et même dans son jean, ses jambes me faisaient de l’effet… Nous sommes ensemble depuis plus de quinze ans et il m’a fallu quelques années pour que je lui avoue pourquoi j’avais craqué sur lui. Et pour cause, il en était super complexé ! ».

C’est un détail, certes, mais il faut quand même faire un peu attention avec les garçons qui ont un petit truc spécial. Ce n’est pas forcément facile d’avoir des oreilles décollées pendant l’adolescence. Alors on est délicat…

Comme Russell Tovey

Longtemps décriées, les oreilles décollées s’assument et s’exhibent. Elles deviennent même un « plus » dans le sex-appeal. Et vous ne direz pas le contraire en pensant à Russell Tovey, Jamie Bell ou le Prince Harry…

Javier (27 ans de Madrid) est fan : « Dès que je voyais un mec avec les oreilles décollées, je fonçais. Bêtement, on est d’accord. Mais je ne me retenais plus. J’ai dû surprendre plus d’un mec. Celui qui partage ma vie ne fait pas exception. Il a deux oreilles énormes et les cheveux rasés. J’en suis dingue. Je passe mon temps à vouloir les lécher… ».

Et oui, les particularités rendent dingues. Gus (38 ans, de Charleroi) est tout à fait d’accord : « J’ai dragué mon chéri en lui disant qu’il ressemblait à Russell Tovey. Ça l’a d’abord flatté. Puis, il a compris et a explosé de rire… On était en pleine période Looking. Tout le monde voulait un mari qui ressemble à Russell. » Serait-ce donc un effet de mode ? 

Comme Christophe Lambert

La coquetterie dans l’œil reste un must des particularités que les gays apprécient. Stefan (54 ans de Mende) se rappelle : « Je me souviens encore du choc que j’ai eu quand j’ai vu Greystoke, la légende de Tarzan, au cinéma… Je suis tombé sous le charme de Christophe Lambert. Ou plutôt de son regard… C’est ce qui m’a attiré chez mon chéri. En plus, il avait les cheveux longs à l’époque, lui aussi. C’est une private joke entre nous. On s’appelle Tarzan et Jane… ».

C’est vrai que le strabisme plait : Ryan Gosling, Gaspard Ulliel ou Robert Sean Leonard, sont tous des bombasses et leur regard y fait pour beaucoup. Et Stefan de rajouter : « Mon mec se fait souvent draguer. A cause de son regard certainement. Beaucoup plus que moi. Ça a le don de m’agacer. Pour me remonter le moral dans ce cas-là, il me rassure en me disant qu’il adore ma normalité ! »

Comme Christophe Lemaitre

Beaucoup comme Clovis Cornillac ou Laurent Ruquier ont tout fait pour corriger ce qu’il considère comme handicapant : leur cheveu sur la langue. Et pourtant, c’est tellement mignon. Rodrigue (32 ans, de Toulouse) acquiesce : « Je fantasmais grave sur les blonds aux yeux bleus. Je ne faisais pas une fixette là-dessus mais quand même. Jusqu’au jour où j’ai rencontré mon chéri, un sublime blond avec le regard clair. Mais ce n’est pas ça qui m’a fait fondre. Il a un cheveu sur la langue. On va dire une queue de cheval sur la langue et j’adore ça. Je lui pose des questions quelquefois, juste pour qu’il me réponde. En plus, il ressemble à Christophe Lemaitre, qui lui aussi, a un cheveu sur la langue… ».

Sylvain (41 ans, de Paris) a craqué sur ce que les médecins appellent un défaut orthophonique de son chéri. Il est bègue. Il explique : « J’aime mon mec comme un dingue. Être bègue est difficile. La société n’est pas très cool avec lui. Du coup, j’ai trop envie de le protéger… Si quelqu’un montre le moindre signe d’impatience quand il parle, il a affaire à moi. ». C’est beau l’amour, non ?

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